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La
fondation S'AIDDES
Soutient
et finance
les actions qui participent au
développement économique des personnes
les plus pauvres |
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Les objectifs de la fondation S'AIDDES |
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Motivation des fondateurs (expérience) |
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Les Fondateurs ont œuvré, depuis 24 ans, dans l’amélioration des environnements sociaux pour faciliter l’expression de chaque personne et son développement personnel.
1984 : Création en France d’une association d’entraide de cadres en recherche d’emploi avec la mise au point d’une méthode de travail basée sur les synergies de groupe, connue aujourd’hui sous le nom de méthode AVARAP. 1994 : Création en France et développement d’un concept de relation de travail qui allie autonomie personnelle et appartenance à un groupe apportant la protection sociale des salariés et la synergie des compétences, connue aujourd’hui sous l’appellation de Portage Salarial. Création à Madagascar d’une institution de micro-crédit sans garantie privilégiant l’adhésion à un groupement de soutien et de solidarité morale pour oser entreprendre et développer une activité rémunératrice et ainsi sortir progressivement de l’extrême pauvreté. 2006 – 2008 : 3519 micro-crédits avec 68.000 €, 7 rotations des fonds en 2 ans ½. 2007 - 2008 : soutien d’une 1ère ONG à Madagascar (Soahita) avec apport de 8.200 €. (266 prêts, 3 rotations des fonds en 15 mois) |
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Motivation des fondateurs (projet) |
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En effet, les Fondateurs sont convaincus que les maux que les individus subissent dans une période de leur vie, sont essentiellement dus à une mauvaise intégration dans leur environnement social. Le chômeur est en rupture sociétale, celui qui aspire à son autonomie de travail se heurte à l’incompatibilité actuelle entre la protection sociale et les statuts légaux de l’indépendance économique, et le pauvre vit dans un environnement informel et n’est pas reconnu comme un agent économique potentiel par les entrepreneurs.
La Fondation souhaite consacrer ses ressources à ceux qui sont exclus de la société normative et dont la nourriture, la santé et l’éducation ne leur sont pas garanties ; l’amélioration de leur situation passe par leur reconnaissance comme individu capable d’autonomie, par une intégration sociale minimum et par l’accompagnement financier de leur projet d’activité lucrative.
Le pari sera gagné lorsque ce micro - entrepreneur deviendra producteur de valeur ajoutée et de richesse, et ainsi apportera sa pierre au développement de l’ensemble de sa communauté. Un pays, si pauvre soit-il, retrouvera le cercle vertueux du développement et un niveau de vie décent, quand sa population sera majoritairement capable d’initiatives économiques, si petites soient-elles.
Pour démultiplier des actions déjà entreprises, la Fondation souhaite s’appuyer sur les ONG qui respectent notre philosophie d’accompagnement des plus pauvres de leur pays d’intervention. |
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